16 réflexions sur “« Il y a trois sortes de problèmes: »

  1. Il y a trois sortes de problèmes :
    1) celui qu’on peut résoudre,
    2) celui qui, inattendu, vous donne du fil à retordre, mais dont vous viendrez à bout,
    3) celui qui vous pollue l’existence, sauf que vous n’avez jamais pensé qu’il était imaginaire.
    En définitive, il n’y a aucune problème.

  2. Il y a trois sortes de problèmes
    Ceux que l’on ne peut résoudre
    Ceux qui trouvent une réponse
    Et tous les autres, ceux que l’on ne pose pas

  3. there are three sorts of problems but if you drive down sunset boulevard in the bright sunny sunshine singing loudly to ABBA, you cannot remember any of them.

    😉

    *wavingfromlosangeles*

  4. Le premier problème est moi-je. Si je n’avais pas existé, c’est sûr qu’il n’y aura jamais de problème. Ensuite, ce sont les autres, l’Enfer, la damnation etc. Enfin, il y a évidement moi-je et les Autres…

  5. Si on exclue le 1e, le 5e et le énième problème, il y en a 3 sortes. Le premier est de répondre à côté de ses pompes à un problème donné. Le 2e est de croire que, parce qu’on a résolu le premier, il n’y a aucune raison de ne pas résoudre le deuxième. Le troisième est de s’imaginer qu’il n’y en aura pas un quatrième.

  6. Les problèmes sont de trois ordres : ceux que l’on se crée, et dont on détient donc soi-même la clé, ceux que d’autres posent et imposent selon des logiques figées, et ceux qui relèvent du Mystère. Sans aucun doute est-ce dans ces derniers, qui alimentent les premiers dans la plus large mesure et sont communs à l’Humanité entière, que réside le vrai défi…

  7. Il y a trois sortes de problèmes: la question posée à laquelle il faut répondre (mathématique)
    la sempiternelle question que je me pose: que fais-je là?
    la question que me pose mon semblable par sa présence: que fait-il là?

  8. IL y a trois sortes de problèmes :

    Les problèmes matériels qui varient selon les latitudes où l’on est né, selon la classe sociale où l’on est né, selon l’époque où l’on est né (pour mes parents, ce fut la guerre tout court, pour moi, ce fut la guerre de l’Entreprise),

    Il y a les problèmes existentiels (l’amant dont on n’arrive pas à savoir si l’on doit rompre ou non avec lui, et d’ailleurs, il n’est pas un amant… Je ne sais pas décrire ce qu’il est).

    Et enfin, il y a les problèmes de santé, inhérents à la condition humaine et qui déterminent les autres – ou sont influencés par eux, a contrario (une maladie passe mieux si on a les moyens de la soigner et elle guérira mieux si l’on met les problèmes existentiels de côté). Ma belle-soeur demandait un jour un peu d’argent à ses parents, ils lui ont répondu: « mais nous avons besoin de cet argent pour vivre », elle leur a rétorqué « et moi, j’ai besoin de cet argent pour mourir ».

    En fait, je pourrais résumer le troisième problème plus simplement, il y a la mort et tout ce qui la précède. Montaigne n’aurait pas dit mieux… C’est là que réside le principal problème.

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