(remplacer les parenthèses par les mots de votre choix)
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« Je suis (…). C’est une certitude.
Car on peut toujours douter de (…)
Mais jamais de (…). » »
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qui (…) ?
qui (…) ?
qui (…) ?
L’homme, et lui seul.
Il est donc un animal (…).
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INTERLUDE 
Je suis âgée, c’est une certitude;
Car on peut toujours douter de son sexe,
jamais de sa date de naissance.
Qui marche sur deux jambes?
Qui vit en vase clos?
Qui pense?
L’homme, et lui seul.
Il est donc un animal pensant
Je suis vivante c’est une certitude.
Car on peut toujours douter de l’être
Mais jamais de l’esperer.
non jamais , » ils n’ont visualisé …ces fameux sens’ ont dû désenstiver la zone corticale , agraphique et alexique parfois, dyslexique toujours !!
« Je suis blonde. C’est une certitude.
Car on peut toujours douter de l’origine du monde, de son identité sexuelle, de la parole d’autrui, du sens de la vie, et bien d’autres choses encore.
Mais jamais de ce qui se voit. Quoique…
Car voyez-vous, je n’aime pas les certitudes. » »
Qui détruit ?
Qui ment ?
Qui a une conscience ?
L’homme, et lui seul ? Qui peut l’affirmer ?
Il serait donc un animal au même titre que les autres animaux mais tellement plus néfaste pour la planète qu’il habite, ainsi que pour ses occupants.
« Je suis différente. C’est une certitude.
Car on peut toujours douter des apparences
Mais jamais de ce que nous murmure la nature.
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qui a vu l’ours ?
qui l’a raconté ?
qui tuera le dernier ?
L’homme, et lui seul.
Il est donc un animal triste.
« Je suis multiple, c’est une certitude. Car on peut douter aujourd’hui de la singularité. Mais jamais du multiple… »
« Qui, tout en s’en singularisant, s’approprie le Tout ? Qui marche au pas ? Qui sonne le tocsin ? L’homme, et lui seul. Il est donc un animal inanimé. »
« Je suis triste. C’est une certitude.
Car on peut toujours douter de son succès
Mais jamais de ses échecs. »
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qui marche ?
qui court ?
qui vole ?
L’homme, et lui seul.
Il est donc un animal solitaire.